Une conception cantonale du paysage est un outil volontaire et non liant qui s’inscrit dans un cadre législatif fédéral que l’OFEV soutient. Elle permet aux cantons de définir les grandes entités paysagères qui les composent et d’y associer des objectifs et un plan d’actions, issus d’une stratégie générale de protection et de valorisation de leurs paysages. En fonction de ses particularités géographiques, naturelles, culturelles et économiques, urbaplan a accompagné les services d’aménagement du territoire et de la Faune, Flore et Forêt à établir un état des lieux descriptif des différentes unités paysagères locales, et défini pour chacune d’entre elles, les éléments clés qui les composent.

Les unités paysagères ont localisées sur un plan général au 1:500’000 et décrites à l’aide de fiches illustrées par quelques photographies et des croquis synthétiques, ainsi que plusieurs rubriques associées : forces, faiblesses, menaces, oportunités et grands enjeux. Ces éléments doivent être complétés et partagés avec les acteurs locaux lors d’une démarche participative en cours de programmation.

Une conception cantonale du paysage est un outil volontaire et non liant qui s’inscrit dans un cadre législatif fédéral que l’OFEV soutient. Elle permet aux cantons de définir les grandes entités paysagères qui les composent et d’y associer des objectifs et un plan d’actions, issus d’une stratégie générale de protection et de valorisation de leurs paysages. En fonction de ses particularités géographiques, naturelles, culturelles et économiques, urbaplan a accompagné les services d’aménagement du territoire et de la Faune, Flore et Forêt à établir un état des lieux descriptif des différentes unités paysagères locales, et défini pour chacune d’entre elles, les éléments clés qui les composent.

Les unités paysagères ont localisées sur un plan général au 1:500’000 et décrites à l’aide de fiches illustrées par quelques photographies et des croquis synthétiques, ainsi que plusieurs rubriques associées : forces, faiblesses, menaces, oportunités et grands enjeux. Ces éléments doivent être complétés et partagés avec les acteurs locaux lors d’une démarche participative en cours de programmation.

La Vision territoriale transfrontalière (VTT) a pour ambition de poser les bases des politiques publiques à incidence spatiale en réponse aux objectifs de la charte du Grand Genève en Transition. Urbaplan a été mandaté non seulement pour l’élaboration de l’EES de la VTT, mais également pour la mission d’assistance à maitrise d’ouvrage général de cette étude (dès 09.2023), pour l’ensemble de la phase de structuration et de consolidation générale du contenu de la VTT, ainsi que pour la formalisation du rapport général.

Objectifs et principaux résultats de l’EES

L’EES a évalué la compatibilité de la VTT avec les 10 objectifs de transition écologique fixés dans la Charte «Grand Genève en transition», signée en janvier 2023 par les 8 membres du Grand Genève.
Elle met en évidence que la VTT dans son ensemble propose des principes et des modes d’action qui contribueront clairement à la transition écologique de l’agglomération franco-valdo-genevoise, mais sans atteindre totalement, et à elle seule, les différents objectifs-cibles de la Charte du Grand Genève. Dans cette perspective, l’EES propose également des pistes de leviers d’actions complémentaires par objectif.

Enjeux méthodologiques

Deux enjeux méthodologiques principaux ont été identifiés dans le cadre de la réalisation du mandat:
> Les composantes clés du projet de VTT utiles pour l’évaluation ont été produites en parallèle de la consolidation de la VTT. Ce processus a nécessité une implication forte des partenaires (évolution de la tâche urbaine, évaluation des prestations kilométriques, identification et localisation des infrastructures des transports projetées, etc.). Aussi, une seule évaluation d’ensemble du projet a pu être effectuée ne permettant pas des itérations entre les deux processus. La structuration, le plus en amont possible, des modalités de production des composantes clés d’un projet nécessaires à son évaluation est apparue comme un élément indispensable au bon déroulement de l’évaluation et à la possibilité d’une itération entre les deux démarches.
> La mise en commun de données transfrontalières est apparue comme une difficulté particulière à anticiper. Elle nécessite en effet un travail approfondi et fin de mise en cohérence et d’agrégation des données.
> L’objectif-cible «empreinte matière» de la Charte est très difficilement utilisable dans une perspective d’évaluation. Il n’a pas été possible, dans le délai de l’étude, de définir un indicateur alternatif plus facilement utilisable dans une démarche de planification directrice.

Urbaplan a réalisé le projet d’agglomération de 5ème génération de la région d’Yverdon-les-Bains, composé de 5 communes aux caractéristiques contrastées.

Une des ambitions du PA5 est de lier les aménagements en lien avec la mobilités aux potentiels paysagers du territoire en présence. Le plan paysager a permis d’identifier les différentes unités paysagères qui composent le périmètre d’étude, avec la mise en évidence par un diagnostic partagé lors de processus participatifs avec les différentes communes, ainsi que les valeurs paysagères à valoriser ou à préserver. Le projet d’agglomération présente des enjeux à l’échelle territoriale mais également plus locale (quartier, rue, cours d’eau) en proposant de renforcer les trames vertes/bleues en lien notamment avec les mobilités douces, les espaces publics et les réseaux écologiques.

Il est élaboré comme un plan guide, sur la base d’enjeux généraux avec une vision d’ensemble, déployés en stratégies sectorielles, une liste de besoins d’actions et enfin, des mesures à mettre en oeuvre localement sous formes de fiches opérationnelles (financement, budget à+/-20%, acteurs, etc.).

Le but de l’étude est de tester et d’appliquer la stratégie cantonale en matière d’implantation des ICFF à l’échelle de l’agglomération Lausanne-Morges (ALM) en vue de :
> vérifier son applicabilité et sa pertinence et, si nécessaire, de formuler des recommandations d’adaptation de cette stratégie;
> élaborer une stratégie pour l’implantation des ICFF dans l’ALM sous la forme d’une proposition de planification et de gestion des ICFF.

La stratégie cantonale vise, au travers d’une méthode, à définir un certain nombre de règles pour l’implantation des ICFF, qui permettront aux organes compétents de se déterminer et d’alerter les autorités nécessaire.

La méthode consiste en une série de critères de localisation à appliquer à un projet ou à un site pour :
> vérifier si le projet répond aux objectifs d’implantation des ICFF,
> identifier les sites potentiels pour l’implantation d’une ICFF.
Les critères et leurs indicateurs définissent les exigences d’implantation des ICFF. Des exigences qui traduisent, sur le plan opérationnel, les lignes directrices et les objectifs de la stratégie cantonale.
La méthode a été appliquée à un projet « Cocagne-Buyère », d’une part pour vérifier s’il était conforme aux objectifs de la stratégie cantonale, d’autre part pour examiner l’applicabilité et la pertinence de la méthode.

Pour répondre à un des défis majeurs de l’Ouest-lausannois, l’étude s’est dotée d’une maquette 3D permettant la visualisation sous tous les angles des 4 projets de tracés retenues et ainsi mesurer leurs impacts paysagers.

Par la suite, la maquette a été enrichie des 4 échangeurs projetés. Grâce à sa conformité 3DOK*, 14 photomontages fiables furent élaborés.