De premières séances de travail se sont tenues entre membres de la Municipalité de Sousse et du Groupement urbaplan-transitec-idee-inser à la mi-septembre 2022. Ces échanges s’inscrivent dans la phase de démarrage de 4 mois qui doit permettre d’affiner le montage institutionnel (qui se caractérise par une extension du projet aux communes du Grand Sousse), ainsi que le contenu technique et les estimations budgétaires des différentes composantes techniques.

L’ambition de cette phase initiale est également de tirer les enseignements de la phase 1 pour poursuivre sur la dynamique collaborative enclenchée depuis 2018, tout en veillant à apporter les améliorations nécessaires. L’unité de gestion a profité de cette mission pour présenter les nouvelles recrues engagées en 2022 par la Municipalité et qu’elle souhaite voir activement impliquées au cours des prochaines années.

Cette phase 2 de 4 ans bénéficie d’un appui technique et financier de 4,5 millions d’euros du Secrétariat à l’économie suisse (SECO).

Cette mission initiale a vu la mobilisation d’une équipe composée de Baligh Souilem et François Laurent (urbaplan), Hanen Fertani et Julien Allaire (transitec) et Khaled Ben Abdesslem (ide-e).

Le bureau urbaplan a été mandaté par la DIME pour identifier et accompagner les démarches initiales visant à intégrer la thématique de la gestion durable des sols le plus en amont possible de la planification du secteur Chamblioux-Bertigny situé au cœur de l’agglomération fribourgeoise.

Un guide y relatif a été élaboré sur la base principalement d’un atelier de travail interdisciplinaire organisé en février 2022. Le guide a pour objectif d’expliciter les outils méthodologiques et opérationnels pour une gestion durable des sols de manière générale et, plus spécifiquement, pour la transformation du secteur de Chamblioux-Bertigny.

Il est disponible sur le site du Service de l’environnement (SEn).

Le conseil d’administration s’est réuni pour la première fois dans sa nouvelle configuration fin août. Présidé par Magali Zuercher, il a accueilli Elise Riedo comme administratrice et Caroline Boutillon-Duflot fondatrice-dirigeante de l’entreprise Profit Durable, comme administratrice extérieure.   

Ces changements s’inscrivent dans une volonté affichée pour urbaplan d’être une entreprise modèle en terme de durabilité, mais aussi de diversité et d’inclusivité, tout en poursuivant le positionnement qui fait le succès de l’entreprise depuis ces cinquante dernières années : la recherche de solutions durables avec les acteurs politiques, économiques et sociaux qui sont porteurs des projets, avec l’agilité et la créativité indispensables pour relever les défis à venir engendrés par les dérèglements climatiques.

urbaplan est mandaté par l’Agence Française de Développement (AFD) pour appuyer la Mairie de N’Djaména à élaborer un schéma directeur de gestion des équipements sportifs de la ville.

Rappelons qu’Urbaplan intervient depuis 2010 et de manière très régulière en appui au développement et à l’aménagement urbain de la capitale tchadienne. La problématique sportive fut d’ailleurs l’une des composantes importantes développées en 2012 lors de l’Agenda 21 de la ville.

Par la suite, la réalisation d’équipements sportifs fut également une action importante du projet d’aménagement du Canal des Jardiniers (PACAJ) pour lequel urbaplan avait étudié sa faisabilité en 2016 et assure depuis 2019 l’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO).

Dans le cadre de cette mission, les prestations se feront d’ailleurs en collaboration avec l’équipe active de l’AMO PACAJ, à savoir Benoît, Jean et Pascal.

Suite à un appel d’offres international ouvert, Urbaplan est mandaté par l’Agence Française de Développement (AFD) pour étudier la faisabilité d’un futur programme urbain en appui à 5 villes secondaires du Burkina-Faso : Koudougou, Ouahigouya, Kaya, Dori et Fada N’Gourma. Les prestations se feront dans le cadre d’un groupement, en co-traitance avec 2 bureaux d’études burkinabè.

Les prestations consistent à identifier un programme technico-fonctionnel d’investissements d’infrastructures urbaines et d’équipements socio-collectifs, ainsi que les modalités de mise en œuvre nécessaires à l’opérationnalisation du programme (passation de marchés, risques environnementaux et sociaux).

Notons que ces villes ont accueilli ces dernières années une population importante de réfugiés internes, en raison d’un contexte national marqué par une instabilité politique, une insécurité grandissante face au risque terroriste, une pauvreté endémique ainsi que par les effets du changement climatique (sécheresse).