Des images 3D percutantes, visibles sur le nouveau site de la commune de Lutry

La commune de Lutry se dote d’un deuxième site donc le but et d’informer sa population sur les futurs défis a relever en matière de mobilité. Nous sommes fière d’avoir pu enrichir son contenu avec nos dernières images 3D réalisées pour les tl (Transports publics de la région lausannoise) concernant le projet du BHNS (bus à haut niveau de service). Pour plus d’information c’est ici !


Des taxis volants sans conducteur ?

Serait-ce la fin des carrefours saturés dans nos schémas de mobilités ?

Un peu de prospective pour cette fin d’année, chacun jugera si c’est souhaitable ou non …

_____

Ci-après un extrait de l’article original paru dans l’express :

Selon le PDG d’Airbus, « imaginer qu’un jour des véhicules volants circuleront dans nos villes n’est pas insensé ». Il a dévoilé deux projets allant dans ce sens, ce mardi, dans le journal de son entreprise.

Ce n’est pas de la science fiction. Les premiers essais en vol pourraient avoir lieu fin 2017. Tom Enders, le PDG d’Airbus Group, a indiqué ce mardi que le constructeur travaillait actuellement sur deux projets de taxis volants et autonomes. « Je ne suis pas fan de Star Wars, mais imaginer qu’un jour des véhicules volants circuleront dans nos villes n’est pas insensé. Dans un avenir pas si lointain nous utiliserons nos smartphones pour réserver des taxis volants entièrement automatiques qui atterriront devant notre porte, sans pilote », a commenté le PDG dans le journal d’entreprise de l’avionneur européen.

La filiale Airbus Helicopters a déjà signé un protocole d’accord avec la Direction singapourienne de l’aviation civile (CAAS), afin d’autoriser l’expérimentation mi-2017 d’un service de livraison de colis par drones sur le campus de l’université nationale de Singapour. Si le résultat sur le plan de « la sécurité opérationnelle » de cette expérience est positif, Airbus espère, par la voix de son journal, « accroître l’acceptation d’essais en vol avec des passagers, ultime verrou aux projets de véhicule aérien urbain ». Le journal du constructeur européen indique aussi qu’un pôle d’innovation, A3, a été créé dans la Silicon Valley.

L’obstacle de l’interdiction du survol des villes

Les ingénieurs qui le composent travaillent déjà sur une plate-forme volante de transport de passagers individuels et de fret baptisée Vahana. « Les essais en vol d’un prototype sont prévus pour fin 2017 », selon le journal. Selon le responsable d’A3, Rodin Lyasoff, le projet est considéré comme « faisable », mais il a encore « besoin d’une technologie fiable de détection et d’évitement ». Il affirme aussi que, si cette technologie commence à faire son apparition dans les voitures, « aucune solution mature n’est encore disponible pour un véhicule aérien ».

Le journal indique que ce projet se heurte également à la problématique de l’insertion d’aéronefs autonomes dans l’espace aérien urbain. « Aucun pays au monde n’autorise pour l’instant le survol des villes par des engins sans pilotes qu’ils transportent des passagers ou non », selon l’ingénieur d’Airbus Helicopters, Bruno Travel, qui dirige un projet nommé « Skyways » destiné à faire évoluer le cadre réglementaire.

Réserver son siège en ligne, via une application

Un autre projet, CityAirbus, est actuellement dans les tiroirs d’Airbus. Il s’agit d’un « concept de plate-forme de transport de passagers à propulsion électrique » qui « s’apparenterait à un petit drone », selon le journal. « Des développeurs en France et en Allemagne travaillent » sur ce projet, précise-t-il. Pour « permettre une entrée rapide sur marché », il serait « opéré au début par un pilote, comme un hélicoptère, mais dès lors que la réglementation l’autoriserait, il deviendrait totalement autonome ».

En pratique, imagine Marius Bebesel, le directeur des démonstrateurs chez Airbus Helicopters cité par le journal, « les usagers utiliseraient une application en ligne pour réserver un siège à bord d’un CityAirbus et se rendraient ensuite à l’hélisurface la plus proche pour être acheminés rapidement à destination ».

Continuer la lecture…


Ça ressemblera à quoi Morges, demain?

Dans le cadre de la révision de son Plan général d’affectation (PGA), la Ville de Morges invite la population à s’exprimer sur sa vision du développement futur de la commune. Pour ce faire, elle convie quiconque le souhaite à participer à une journée de safaris urbains qui se déroulera le samedi 16 avril 2016.

ville-morges-flyer-pga-def-def-1-2

À cette occasion, vous tous, les habitants de la Commune, vous vous transformerez en experts du territoire le temps de trois balades qui vous conduiront dans les quartiers emblématiques de la Ville de Morges. Vous serez invités à faire part de votre ressenti sur les différentes ambiances qui seront traversées tout au long de la journée, l’objectif étant de vous permettre à tous, de formuler aujourd’hui les propositions qui serviront à améliorer la qualité de vie de la ville de demain.

Vous n’êtes toujours pas convaincus ? La Ville de Morges accompagnée de ses mandataires vous invite à venir découvrir le programme détaillé ainsi que le contenu de la démarche le jeudi soir 14 avril 2016 à 19h30 aux caves de Couvaloup, rue Couvaloup 10 à Morges.

Vous souhaitez obtenir plus d’informations ? La brochure à télécharger ci-dessous présente de manière détaillée les lieux de rendez-vous, les horaires ainsi que les parcours qui vous seront proposés. Une fois la brochure consultée, il ne vous restera plus qu’à vous présenter sur place le samedi 16 avril 2016 à l’horaire indiqué pour participer à une ou plusieurs balades de votre choix.

Vous ne pouvez pas participer aux safaris mais souhaitez tout de même nous faire part de vos commentaires ? Aucun problème, merci d’imprimer le questionnaire ci-dessous, de le remplir et de nous le renvoyer par courriel à urbanisme@morges.ch ou par courrier à la Direction de l’aménagement du territoire et du développement durable, Place de l’Hôtel-de-Ville 1, 1110 Morges 1, d’ici au 20 avril 2016.


Pôle Gare : vu, entendu, raconté, étudié…

L’étude pluridisciplinaire, réalisée par urbaplan et Laurent Matthey de l’Université  de Genève pour la cellule Pôle Gare de la Ville de Lausanne a été publiée sous la forme d’un livre « Pôle Gare : vu, entendu, raconté, étudié… » et distribuée aux différents acteurs concernés par ce vaste projet.

Le livre peut être consulté et téléchargé ici, depuis le site du projet Pôle Gare.

pole-gare-1

 

pole-gare-2

 

pole-gare-4

 

 




pole-gare-5

 

pole-gare-3

 

Voir une explication complète sur le site du projet Pôle Gare

Extrait :

Dans le cadre du projet Pôle Gare, la réalisation de trois ateliers consultatifs a donné l’occasion aux groupes concernés par le projet d’échanger leurs avis. Le premier de ces ateliers s’est tenu le 8 juin 2015, avec les membres de la Commission consultative d’urbanisme et des transports (CCUT) autour du périmètre de Pôle Gare et ses éléments identitaires. Le deuxième a eu lieu le 24 juin 2015, avec les représentants des commerçants, afin d’identifier les risques et les opportunités que soulève le développement de Pôle Gare au regard des équilibres programmatiques et de la mobilité. Enfin, le troisième s’est tenu le 2 juillet 2015, avec les représentants des habitants et des usagers du périmètre autour de la place de la Gare, afin d’identifier les risques et les opportunités que soulève le développement du Pôle Gare au regard des espaces publics et des identités de quartier.

L’étude pluridisciplinaire « Pôle Gare : vu, entendu, raconté, étudié… » intègre les résultats de ces ateliers et brosse un portrait sensitif du Pôle Gare.

Les éléments de convergence pour la place de la Gare en particulier, et Pôle Gare en général, qui ont émergé de ces ateliers sont:

  • Reconnaître les caractéristiques différentes sur la place de la Gare (espace emblématique de Lausanne, et accès principal aux transports individuels motorisés et aux transports publics) et le font sud (transition vers la vie de quartier, prépondérance de la mobilité douce);
  • Décloisonner en profondeur la place de la Gare vers l’est et vers l’ouest (tirer parti du développement du Pôle muséal et du projet de la Rasude);
  • Intégrer l’ensemble des besoins de mobilité (y compris l’accessibilité en transports individuels motorisés, dépose-minutes, taxis, autocars, livraisons) dans l’aménagement de la place de la Gare en particulier, et mere l’accent sur la mobilité douce vers les quartiers sous-gare (en assurant une cohabitation avec les autres modes);
  • Faire du Pôle Gare une nouvelle destination dans la Ville de Lausanne, qui dépasse sa stricte fonction de mobilité;
  • Inscrire le Pôle Gare dans un réseau élargi d’espaces publics permeant de le connecter aux lieux identitaires de la ville et des quartiers;
  • Minimiser la rupture nord-sud (profiter de tous les passages existants y compris des rues, ancrer les débouchées de ces passages par des usages ou des espaces de qualité).

Taxito

« Dans le détail, la personne qui veut être transportée se place à un arrêt de bus et envoie un texto avec sa destination. Ensuite, le lieu choisi s’allume sur un panneau accroché à l’arrêt, signalant aux automobilistes où le voyageur veut se rendre. » (20mins.ch)

Pour savoir plus: TAXITO.


Neuchâtel Mobilité 2030

Capture d’écran 2015-12-11 à 09.20.29

Le canton de Neuchâtel a créé un tout nouveau site internet en vue de la votation populaire du 28 février 2016 sur le projet de mobilité cantonal. Ce dernier repose sur 4 piliers : le RER Neuchâtelois, les routes nationales et cantonales et la mobilité douce.

http://nemobilite2030.ch


Rapport stratégique sur la tarification de la mobilité

La tarification de la mobilité permet d’utiliser plus efficacement les capacités routières et ferroviaires existantes et de réduire les pics d’affluence. C’est la raison pour laquelle le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) a réfléchi à des solutions applicables en Suisse. Le Conseil fédéral a pris connaissance aujourd’hui du projet de rapport stratégique en la matière et lancé la procédure d’audition.

Plus d’informations ici

Projet de rapport

Fiche d’informations


La lutte contre le bruit doit se poursuivre au-delà de l’échéance des délais d'assainissement

Les délais légaux pour l’assainissement du bruit de la circulation routière viennent à échéance en Suisse en 2015 respectivement 2018. Des immissions de bruit routier excessives persisteront toutefois en de nombreux endroits au-delà de ces dates. L’extension du mitage du sol et l’urbanisation croissante du territoire suisse, ainsi que les revendications de mobilité du trafic privé sur la route, en constante augmentation, exigent aussi à l’avenir une lutte conséquente contre le bruit du trafic routier. Une politique d’aménagement du territoire orientée vers l’avenir, qui allie les intérêts d’une densification dans les centres urbain à ceux de la protection contre le bruit, peut apporter une contribution importante.
Article complet